
Pour régler le sort des djihadistes partis rejoindre Daesh, la doctrine française reste inflexible : « Ils doivent être jugés sur place ».
Dans notre nouveau numéro, le journaliste Guillaume Perrier souligne la régression démocratique que représente une sous-traitance de notre justice antiterroriste.
À lire dans notre dernier numéro « Autopsie d’un vaccin ». Découvrez son sommaire ici.
Illustrations : Adeline Schöne